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Mobilité
Deux stations de réparation de vélos installées à La Roche
La Roche-sur-Yon Agglomération a installé deux bornes de réparation et gonflage de vélos en libre-service, place Napoléon et sur le parvis de la gare.
Un pneu qui manque d’air, un frein qui se desserre… Les aléas des cyclistes ont désormais leur solution à La Roche-sur-Yon. Deux stations de réparation et de gonflage en libre-service ont été installés sur le parvis de la gare SNCF et place Napoléon, face à l’Office de tourisme. « L’idée est venue d’une Yonnaise dans le cadre du Budget participatif 2024, rappelle Malik Abdallah, adjoint délégué aux mobilités publiques et aux déplacements. Désormais, l’objectif est de multiplier ces équipements qui permettent aux cyclistes d’entretenir leurs vélos, au quotidien et en toute autonomie. »
Mis à disposition gratuitement, pince, tournevis et clé Allen dépannent aujourd’hui les amateurs de deux roues. « Chaque borne a coûté 2 700 €, note l’élu. Les financements émanent du Budget participatif 2024 de La Roche-sur-Yon et de l’Agglomération. »
Une nouvelle consigne à vélos
La consigne à vélos de la gare, elle, a déjà été adoptée par les cyclistes. « Installée en 2020, elle arrive aujourd’hui à saturation. » Un nouveau box sécurisé, d’un coût de 60 000 €, va donc être installé, à la rentrée, de l’autre côté de la passerelle. Accessible 24h/24 – 7/7, il pourra accueillir 40 vélos, dont 10 à assistance électrique, gratuitement, sur présentation d’un badge délivré par le service stationnement situé parking Clemenceau.
Le parking du Maréchal-Leclerc guette aussi vélos et trottinettes en libre-service. « Nous augmentons ainsi l’offre de mobilité autour du pôle important qu’est la gare », conclut Malik Abdallah.
Le vélo trace sa route sur le territoire
L’Agglomération va tracer sa feuille de route en septembre. Les élus vont délibérer sur le Plan mobilité pour les dix prochaines années. « Il y a dix ans, le pourcentage de l’utilisation de la voiture sur le territoire était de 74 %, rappelle Malik Abdallah, à la lecture du bilan du Plan global de déplacement (PGD). 5 % pour le transport collectif et 2 % pour les vélos et trottinettes. » Aujourd’hui, la part modale de la voiture est de 66 %, celle des bus de 6,8 % et des vélos et trottinettes de 4,5 %.